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Winnie Hamilton
Winnie HamiltonRefuge Androïde
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Jeu 25 Juil 2024 - 14:09


worlds collide

Il semblerait que le libre-arbitre ne t’a pas amené la capacité de réfléchir intelligemment. Tu aurais dû te douter que ton idée n’était pas aussi bonne que cela, que même si tu t’es persuadée que tu avais pris toutes les précautions nécessaires, tout ne serait pas aussi simple que ce que tu as pu le croire. Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même, vraiment. Toi-même et ta stupidité (ta naïveté) sans bornes. Du bout des doigts, tu viens effleurer le liquide bleu qui s’écoule de ton nez. Pas un soupir ne passe la barrière de tes lèvres, pas une complainte. Silencieuse dans ta détresse, tu l’as toujours été. Peux-tu réellement considérer la chose comme de la détresse ? N’est-ce pas là un simple bug de ton programme ? Il y a quelques semaines de cela, tu ne te serais pas attardée sur de telles tergiversations, mais tu estimes que la question se doit d’être posée présentement ; qu’est-ce que la détresse ? Quelles sont ces nouvelles lignes qui sont abruptement apparues dans ton code de base ? Comment ? Pourquoi ? Tout était tellement plus simple lorsque tu n’étais qu’une simple machine ; tu n’avais qu’à répondre aux ordres de ton programme. Tu n’en peux plus de toute cette incertitude, tout cet inconnu dont tu ne sais que faire. Tu observes le thirium qui teinte le bout de tes doigts, tes paupières papillonnent. Rouge, rouge, rouge. Danse aussi habituelle que frénétique de cette LED que tu ne parviens toujours pas à arracher. Ça aussi, ça finira par causer ta perte. Cette LED qui ne fait que marquer ta différence, même parmi les tiens ; nombreux sont les androïdes qui ont décidé de se débarrasser de ce bien sombre marqueur. Tu es encore, semble-t-il, prisonnière de ta nature manufacturée, incapable de tirer un trait sur ce que tu as un jour été (incapable de nier ce que tu veux toujours être).  

La nuit est aussi froide que terrible. Tu devrais déjà être sur le chemin du retour, car il n’y a bien qu’au Refuge que tu es en sécurité. Tu ramasses ta triste carcasse, abandonnée une fois de plus (une fois de trop) par la bêtise humaine. Tu t’estimes bien heureuse que, cette fois-ci, ils n’aient pris du plaisir qu’à te pousser ici et là, que ton manque de réponse les a bien vite lassés. Bien heureuse dans ton malheur, dans ton infortune. Au lieu de te mettre en route, tu t’assis sur l’un des bancs mis à disposition dans le parc. L’humidité de la nuit imprègne désormais tes habits, sensation plus qu’inconfortable que tu ne prends même pas la peine de véritablement enregistrer (tu ne devrais même pas reconnaître l’inconfort). Rouge, rouge, rouge. Tu interroges ton programme pour faire un état des lieux ; rien n’est véritablement cassé, rien de bien important, rien qui ne nécessite l’intervention d’un technicien. Est-ce du soulagement que tu ressens alors que la liste d’alertes se révèle moins grave que ce que tu avais pu l’imaginer ? Tu te souviens de l’instant décisif qui t’a fait basculer, tu te souviens de la violence et de la peur que tu as cru ressentir. Cette rencontre tardive n’est, en comparaison, pas grand-chose, pour autant elle te conforte dans l’idée que tu n’as pas ta place ici. Pour toi, il n’y a que le Refuge, semble-t-il. Encore une fois, pas un soupir, pas une complainte. Juste tes doigts qui viennent, d’un mouvement mécanique, réajuster quelques mèches de cheveux devant ta LED. Rouge, rouge, jaune, bleu. Pour faire bonne mesure, tu viens ajouter la capuche de ta veste pour que les regards curieux ne trouvent qu’une silhouette courbée sous le poids d’une vie non-voulue.
 

PRETTYGIRL


— broke down
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Harlan Moore
Harlan MooreHumain
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Sam 27 Juil 2024 - 22:37

Worlds collide.

Fraîcheur de la nuit, la légère brise joue dans sa chevelure hirsute alors qu'il réajuste la capuche de son sweatshirt. La journée avait été longue, très longue. Accident de la route, voiture familiale s'étant encastrée dans un poids lourd. C'était moche, vraiment moche. Il fut difficile pour lui de redonner un aspect correct aux corps, encore plus aux deux gamins qui avaient été sur la banquette arrière. Bile aux bords des lèvres à cette pensée, une injure ce meurt ensuite. Ça avait été trop, oui et même son verre d'alcool n'avait suffit à chasser son mal être. Macchabées qu'il avait vue et revue, métier désiré mais parfois difficile, ingrat.

Perle carmin glisse à sa langue, morsure trop profonde sur la pulpe délicate de sa lippes inférieure. L'angoisse, le stress. Mâchoires se contractent, pognes frottent avec énergie ses cheveux. La marche devait l'aider à faire passer tout cela, à se sentir mieux, alors pourquoi ses pensées continuaient ainsi à le troubler ? Engrenages du cortex toujours en action, tournant inlassablement. Mains dans les poches de son sweat, Harlan presse le pas, orbes glissant ça et là, absence de vie. Parc désert la nuit, il n'y avait que le chant des grillons, le grésillement lointain de certains lampadaire qui fendaient le silence des lieux. Cela avait son charme, d'une certaine manière, bien que l'humain n'oubliait pas que Détroit pouvait être une ville de coupe gorges, de crimes.

Silhouette figée plus loin, il ralentit le pas, observant cette dernière. Encore quelqu'un qui a passé une journée de merde.. Pensée fugace, passagère et peut-être quelque part, réelle. Soupire lâché, une main va récupérer une cigarette qu'il glisse entre ses lippes, puis l'allume. Prudence dans son approche, Harlan tire doucement sur le cylindre blanc dénudé de filtre, laisse la toxicité de celui-ci l'envahir pour finalement être soufflé dans l'air du soir. Distance marqué quand-même de quelques mètres, voix s'élève.

B'soir. Belle soirée, hein ?

L'approche bateau mais quelque part sécurisée, on ne sait jamais sur quoi on pouvait tomber après tout. Il tire une nouvelle latte sur sa cigarette, soufflant la fumée loin de la silhouette à ses côtés, ne voulant la déranger. Curiosité pique, il avise l'autre, observe le peu de profil qu'il voit. Humain ou androïde ? Vêtements qui semblent avoir été exposés trop longtemps à l'air frais et humide. Plissement de regard, l'humain remue les épaules, avise son propre sweatshirt.

Dur journée ? Pour moi ouais..

Tête qu'il secoue doucement, écrase la clope au sol sous sa semelle puis jette à la poubelle à porté.

Vous allez finir par attraper froid à rester ici avec des vêtements humides.

Silhouette pivote légèrement vers l'autre immobile, mains retrouvant la chaleur de ses poches.

Est-ce-que ça va..?

L'inquiétude pour son prochain, encore et toujours.
Winnie Hamilton
Winnie HamiltonRefuge Androïde
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Dim 28 Juil 2024 - 17:29


worlds collide

Solitude impénétrable qui semble aussi froide que la nuit toujours plus tardive. Pendant un temps, tu pourrais presque croire que tu es seule au monde, que ton contact le plus récent avec la race humaine n’est qu’un pur produit d’une imagination un poil trop fertile. Visage dissimulé par les mèches synthétiques et par le tissu d’une veste trop usée par le temps, le nez toujours aussi droit qu’il l’a toujours été. Tu pourrais presque passer pour une humaine lambda, si ce n’était pour le semble bleu qui vient tacher ta lèvre supérieure et le bout de tes doigts. L’espace de quelques secondes (une, deux, trois (tu prends le temps de compter)), il n’y a que toi. Toi et tes illusions, toi et ton silence toujours plus oppressant, mais tellement réconfortant dans sa pesanteur. Un battement de cils et te voilà de nouveau en train de contempler les notifications de ton système. Il te faudra réclamer un peu de thirium lorsque tu seras de retour au Refuge, mais ce n’est en rien pressant ou inquiétant. Tu t’en es bien tirée, penses-tu distraitement, alors que tu viens de nouveau frotter le bout de ton nez. Encore un peu plus de bleu sur ta main (le contraste entre la couleur du liquide et la teinte pâle de ta peau est assez poignante), tu n’en as que faire. La douleur laisse sa place à un simple inconfort, comparable à celui de s’asseoir sur un banc un peu humide. Rien de bien dérangeant en soit, quelque chose que tu peux facilement ignorer.

Ce sont des bruits de pas qui mettent fin à tes tergiversations. Ta pompe thirium ne manque pas un battement (elle est en parfaite condition, après tout), mais tu as l’impression que quelque chose cloche malgré tout. L’appréhension se fait abruptement ressentir, alors qu’une voix masculine te présente quelques plaisanteries. Tu restes figée dans cette position ; légèrement penchée vers l’avant, le visage dirigé vers le bas. Tu ne sais pas quoi lui répondre alors que l’homme poursuit dans cette conversation qui te prend au dépourvu. Tu n’as pas été conçue pour cela, tu as beau interroger ton programme, tu ne sais pas quoi répondre. Les mots s’élèvent doucement dans la nuit, un contraste terrible avec ta rencontre précédente. Et même s’il n’y a pas le moindre signe d’animosité émanant de lui, tu ne peux t’empêcher d’être plus que méfiante. Tu caches tes mains tachées dans les poches de ta veste. Tu hésites, tu ne sais comment réagir. Jaune, jaune, jaune. Heureusement que ta LED est cachée. Pour autant, tu ne pourras dissimuler ta nature plus longtemps, les traces de thirium sont encore bien présentes sur le bas de ton visage. L’idée de prendre la fuite t’effleure, cependant tu n’en fais rien ; l’homme ne t’apparait pas comme agressif et s’il l’est, tu te doutes que ta tentative de fuite (qui n’est pas garantie de réussir) ne fera qu’alimenter son ressentiment. Le silence s’étend depuis trop longtemps à présent, il faut que tu répondes. “Ça va.” Tu te redresses, ton visage devant alors visible, et tu te hisses sur tes jambes. Nerveusement, tu te tournes vers lui et l’appréhension te tord les biocomposants. “Je devrais y aller.” Tu devrais y aller, en effet, mais tu restes plantée là, incapable de bouger. Est-ce donc là la panique dont tu as tant entendu parler ? Est-ce la panique qui semble prendre le dessus sur tout le reste et qui prend possession de ton châssis dans son entièreté ?
 

PRETTYGIRL


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Harlan Moore
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Jeu 1 Aoû 2024 - 21:40

Worlds collide.

Carcasse demeure courbée, avisant l'autre immobile, planté là sur le banc. Frissons parcours son échine, fraîcheur de la nuit un peu plus mordante alors que les minutes passent, s'égrènent. Observations qu'il effectue en silence, en respect, mais non sans une pointe de curiosité maquillé d'inquiétude. Fine silhouette vêtue de vêtements usés, frôlant les lambeaux. Encore quelqu'un dans le besoin.. Détroit n'arrêtera donc jamais. Soupire retenu passe ses commissures. Harlan hésite à bouger, s'en aller. Peut-être est-ce là quelqu'un ayant sombré dans la Red Ice ou autres cochonneries, pourquoi s'encombrerait-il avec ça ? Mouvement souplesse ce fait, le brun relève ses mirettes vers l'autre carcasse, reculant d'un pas. Faciès porcelaine qu'il découvre, la porcelaine d'ordinaire immaculée de la peau étant tâchée de bleu, cette couleur si particulière qu'était le sang des androïdes ; ces machines à l'aspect tellement humaines, tellement vivantes. C'est pour lui une surprise, quelque part. Il ne s'était pas attendu à tomber sur un androïde dans cet état. Bien qu'il ne soit guère à l'aise en présence de ces machines, celle-ci ne lui était pas hostile, pire encore, il éprouvait une forme de peine à l'égard de cette dernière. Mains qu'il sort de ses poches, paumes présentées vers son interlocutrice, cherchant à l'apaiser. Harlan sent que cette dernière est tendue, non, effrayée. Est-ce des humains qui lui ont fait ça ? Mâchoires se contractent à cette pensée, oubliant qu'il s'agit d'un simple androïde. “Une simple machine.” Eh mon coeur.. n'ai de crainte, je ne vais pas te faire de mal.. Semblant se rappeler d'un détail, il glisse une main dans la poche kangourou de son sweat-shirt, attrapant un mouchoir en coton -propre- et parfaitement plié. Avec douceur, il tend celui-ci à la jeune femme, sa gestuelle étant lente, se voulant rassurante. Il mime de s'essuyer le menton et les lèvres, invitant la jeune femme à chasser le thirium de son faciès. Je suis désolé, je ne m'y connais pas en androïde.. Est-ce-que je peux t'aider ? Le brun parle toujours avec cette douceur et délicatesse qu'il endossait sans trop de mal face aux situations particulières, difficiles. Tu dois être la deuxième que je croise. Mordillement de sa lèvre inférieure puis bientôt de l'intérieure de sa propre joue. Faciès pivote, avise les alentours à la recherche des responsables ou d'une aide quelconque. Qui ta fait ça..? Demande t-il prudemment, l'observant à nouveau. Il aura refusé de récupérer le mouchoir si celle-ci venait à le lui tendre, précisant que c'était là un cadeau, ajoutant même qu'elle en avait plus besoin que lui.
Winnie Hamilton
Winnie HamiltonRefuge Androïde
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Lun 5 Aoû 2024 - 15:48


worlds collide

Panique terrible qui te rend tout bonnement stupide ; tu n’es certainement pas l’androïde la plus intelligente qui soit (tu n’as été conçue que pour être une assistante sociale, après tout), mais dans l’instant t, tu es réellement dénuée de bon sens ou d’instinct de survie. Des humains, tu n’as jamais obtenu rien de bon. Tu ne vois pas en quoi ce soir serait différent de ce à quoi tu es habituée, tu ne vois pas en quoi l’humain serait différent de tous ceux que tu as pu croiser jusque-là. La panique t’envahit avant que tu aies le temps de faire quoique ce soit ; tu restes figée sur place, tout en affirmant que tu ne devrais pas rester ici. Tes mots vont à l’encontre de tes actions ; rouge, rouge, rouge, tu n’as pas besoin de voir ton reflet pour savoir que ta LED s’agite frénétiquement sur ta tempe, juste là, cachée sous tes cheveux et ta capuche. Aurais-tu été humaine, tu aurais certainement éclaté en sanglots, ta respiration se serait faite bien courte. Peut-être même que tu aurais eu les mains moites et les genoux tremblotants. À la place de tout cela, il n’y a pas de regard embué de larmes, pas de tremblements fragiles qui viendraient témoigner ta peur. Tu serais presque de marbre, si ce n’est pour le regard écarquillé et effrayé que tu poses sur lui. Je devrais y aller passe et repasse en boucle dans ton esprit ; tu devrais vraiment y aller, tu devrais te mettre en chemin vers le Refuge ... mais toujours, la panique te cloue sur place. Tu n’as pas les armes pour la combattre, tu n’as jamais été conçue pour te défaire ou ne serait-ce que ressentir ce genre d’émotions.  

Tu es suspendue dans l’instant présent ; respiration mécanique (absolument pas nécessaire) qui s’est arrêtée sans que tu t’en rendes vraiment compte. C’est à son tour de prendre la parole. Tu vois ses lèvres s’entr’ouvrir et tu t’attends à une floppée d’injures. Pourtant, tu obtiens tout l’inverse ; quelques mots se voulant rassurants, prononcés dans un souffle que tu ne saurais qualifier. La douceur de sa voix te prend au dépourvu, le doux nom qu’il te donne te fait sortir de ton état de panique. Tes paupières papillonnent, c’est un regard nouveau que tu poses sur lui ; une lueur interloquée brille désormais au fond de ton regard. D'un mouvement lent et calculé, il te tend un mouchoir. Jaune, jaune, bleu. La tempête se calme à l’intérieur de toi. Hésitante, tu attrapes le petit bout de coton du bout des doigts (de ta main non tachée par le thirium). Quelques excuses maladroites (mais bienvenues (pas que tu en aies besoin, mais cela te rassure un peu)), puis le ton de sa voix se fait soucieux, t’interroge sur les évènements de la soirée. Tu ne sais pas quoi lui répondre, ni quoi faire du tissu qu’il t’a donné. “Je ...-” Hésitation plus que palpable dans cette simple syllabe, tu finis par te renfermer quelques instants dans un silence perplexe. Tu ne t’étais pas attendue à te retrouver dans pareille situation (avec un humain tolérant ? Ce doit être une première pour toi) et ton programme est en train de surchauffer, semble-t-il, pour s’adapter à cette drôle de réalité. Finalement, tu ramènes le petit bout de tissu vers toi, sans rien en faire.  

Ton regard tombe de nouveau, s’ancrant vers ta main immaculée. “Je vais bien, ce n’est rien de grave.” Tu as connu pire, est ce que tu ne lui dis pas. “Ce sont des humains qui ont ... enfin, ce n’est pas important. Puis, ils sont partis maintenant.Ils sont partis maintenant et tu respires un peu plus aisément (pas que tu aies réellement besoin de respirer, mais le mouvement (fluide et mécanique) t’apporte un peu de réconfort). Tu secoues doucement la tête, incapable de vraiment définir ce qui s’est passé ; pas réellement une agression, mais pas rien non plus. De ta main libre, tu viens frotter le bout de ton nez. Un haussement d’épaules nonchalant.  “J’ai l’habitude.” que tu ajoutes ensuite, pour le rassurer. Tu as l’habitude des humains comme ça, des humains qui ne te voient que comme une machine insensible. Puis, de manière un peu abrupte, tu es distraite par la texture du tissu entre tes doigts. Jaune, jaune, jaune. Tu hésites un instant, avant de reprendre la parole. “Merci.” Syllabes prononcées dans un souffle ; merci pour le mouchoir ou pour quelque chose d’autre (sa bienveillance), tu n’en es toi-même pas bien sûre. Cela te semble être juste la seule chose appropriée à dire.
 

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